mercredi 26 septembre 2007

Cow -parade de Marseille




Andréa CIANCIOLO –
Blason emplacement n°1 Ville de Marseille
Etudiant en Arts Appliqués à Saint Joseph les Maristes,Andréa Cianciolo se passionne pour les arts visuels, la musique et projette de devenir graphiste… La Ville de Marseille a retenu son projet pour la Mairie…



Andrea CIANCIOLO a conçu une vache Blason habillée, "tatouée" des armoiries de la ville de Marseille, comme si elle avait pour mission de montrer au grand public cette signature noble encore peu connue du quidam. "La ville de Marseille brille par ses grandes actions", lit-on sur son flanc en latin.



J'ai pu obtenir la totalité des vaches avant qu'elles ne rejoignent leur site. Mon appareil et en panne mais j'espère bien pouvoir vous les présenter toutes. L'une d'elles a explosé, d'autres ont été taguées, prouvant une fois de plus qu'il est difficile de mettre des oeuvres d'art à la portée de tous le monde.




Marseille


Quai du port, tu regardes
Là haut, la Bonne-mère.
Les badauds qui bavardent
Devant cette bannière
Marquée d’une croix bleue,
Dont nous sommes si fiers
Son passé glorieux,
Et son allure altière.

Marseille, mon cœur vibre
A évoquer ton nom !
Toi qui a vécu libre
Tu portes ton renom
Sur tous les continents.
Fière de ton blason
Qu’on hisse fièrement.



comprendre le blason de Marseille

Que votre fin de semaine soit douce et agréable!

mistral gagnant

Le vent dans ma cahute envahit en rafales
L’espace tourmenté et l’esprit torturé
Et en un tour de main, il s’enfuit en cavale
Laissant l’horizon clair et mon ciel azuré.

Après tant de déluges, après tant de tempêtes
Vient enfin le moment où mon corps épuisé
Partage un doux séjour et des instants de fête
Appréciant la vie qui m’avait déserté.




Ces derniers jours ont été épuisants, d'attente et de travail, et le mistral du jour me laisse tomber vers une paix intérieure. L'avenir saura me dire si je peux enfin vivre...En attendant, je souris à la vie.
Que votre soirée soit sereine et douce

lundi 24 septembre 2007

héhé!

Mercredi passé je me suis vue agressée de l'arrière par un Vieux Monsieur au volant de sa voiture. Résultat coup du lapin...pour une fois que je sors la voiture...
Adepte du vélo en ville d'habitude il ne m'arrive rien. Et pour respecter les priorités à droite voilà ce qui arrive.


je garde la pink attitude!

Demain grosse journée! je soutiens une VAE master 1 science de l'Education. Voilà quatre jours que je suis plongée dans mon mémoire, et aujourd'jui dans un bouquin de pédagogie.

Rien à voir mais avec mes AFPS, je viens d'obtenir le permis blanc, pour conduire les Véhicules sanitaires légers...

Bonne et douce journée !

dimanche 23 septembre 2007

en clé de sol...


Sur la portée du temps
Des notes de musique
Qui trottent dans ma tête
Ont égayé mon jour

A écouter ce chant
Rengaine bénéfique
Je bois à mes défaites
Et me saoule d'amour!


J'aurais aimé vous mettre un extrait musical...
Que votre dimanche soit serein et doux...

trois petites notes de musique lalalalalère lalalalala...

samedi 22 septembre 2007

Mon coeur


Mon cœur a pris, ce soir, les teintes de l’automne
Flamboyant dans les pourpres ou bien s’enflammant d’or
De ces verts qui brunissent, ces ocres qui bouffonnent
La sagesse poussant comme la mandragore.





Merci à Olga Guyot dont la peinture de cet automne en Provence apaise mon coeur. Je découvre quelqu'un de vrai, d'authentique.
Visitez son site ici

Que votre week end soit doux et agréable!

mardi 18 septembre 2007

Philémon

Après avoir laissé le temps à mes lecteurs de se rendre chez Vincent, je vous mets une nouvelle rimaille et voudrais vous présenter Philémon...

Une journée entière, courbé sur sa machine,
Cadences infernales, dans un bruit de tonnerre
Il rivetait deux pièces, dur labeur qui te mine
Les deux lèvres scellées comme l’huître perlière.

Il avait l’habitude, sa journée terminée,
D’aller boire un café avant d’rentrer chez lui.
Il retrouvait là-bas un club d’habitués
Qui venaient en ce lieu pour tuer leur ennui.

Il discutait de tout et refaisait le monde
Lui, qui de la journée n’avait pas pu parler,
Tout une heure durant, au bar de la Rotonde,
Il entendait sa voix, il s’écoutait parler.

Il savait que ce soir, comme à l’accoutumée,
Il devrait affronter les cris d’une ombrageuse
Qui, de ses faits et gestes allait décortiquer
Jusque tard dans la nuit des fadaises vaseuses.

Philémon fila doux en arrivant chez lui :
La fureur de sa femme lui ferma le caquet.
Le faquin facétieux prendrait bien le maquis
Son quart d’heur’ de retard ce soir là flamboyait !




de Camille Claudel

Douce et belle journée!

lundi 10 septembre 2007

Un geste de solidarité

que je relaie bien volontiers...et au lieu de vous faire tout un bla bla je vous renvoie sur le blog de Vincent qui a su présenter ça bien mieux que moi.

en date du 3 septembre, lisez ceci

Merci pour Grenouille, essayons de lui rendre son étang plus vivable.Merci

Vous pouvez aussi le relayer via votre blog...

Amphigouri sinoque...

Au travers du sabir de mes galimatias
Décode l’intrinsèque concept magnifié,
Trouve la quintessence produit par mon cerveau
Abstraction ridicule d’honnêtes apophtegmes.

De circonvolutions en neurones parias
L’information sature mon cortex liquéfié
Grillée par la surchauffe des circuits corticaux
Il ne me reste plus qu’à plonger dans la flegme.

A force d’inepties, travaillant d’la chéchia,
Je t’emmène ô lecteur au pays des cinglés
Vérifie à ton tour ta tête de delco
Tu pourrais préparer un’poussée d’exanthème.





L'énigme sans fin de Salvador Dali (1938)

Douceur et sérénité

dimanche 9 septembre 2007

Introspection



Larmes de sang,
Ravinant mon visage,
Entrainant avec elles
Tous les maux qui m'habitent,
N'assèchent point mon âme
Mais la revivifie.

Esprit absent,
Recherchant un ancrage
Comme la caravelle
Dans la baie qui l'abrite,
Trouvera le sésame
Qui redonne la vie.


Muse Noire





Retrouvez le peintre Bally ici

Douceur et sérénité

jeudi 6 septembre 2007

Contre vents et marées

Contre vents et marées



Je vivais solitaire
Au sein de ma famille,
Un abîme larvaire
Effondrait ma bastille

On m’eut cru résistante
Aux assauts déchaînés
On me croyait battante
Que nenni, je souffrais !

Voici bien cinq années,
Quand je quittai la terre,
Mon âme condamnée
Aux foudres de l’enfer,

Je ne regrettai rien,
Tant j’avais tout donné,
Fuyant mon quotidien
Fait de murs bétonnés.

Oublieuse d’hier,
Je partirai bâtir
Un monde tutélaire,
Où j’irai me blottir.

Qu’importe si demain
M’abreuve de son fiel
Au pays du jasmin
Le calme est essentiel.

Contre vents et marées,
La tête haute et fière
Au port j’accosterai
Ma goélette altière.



Muse Noire


Allez à la rencontre de cet artiste:ici

Douceur et sérénité...