samedi 10 décembre 2005
A Notre Dame...
Lecteur, tu vas découvrir dans ce blog ma passion pour ma ville. Je la célèbrerai en rimailles, vous la ferez découvrir de temps à autre. Et pour commencer honneur à la plus grande dame de la ville: la Bonne Mère!
A Notre Dame
Lorsque la nuit descend veille sur nos enfants,
Garde précieusement la clé de leur sommeil
Nos petits chérubins, comme autant de merveilles,
Jamais ne se soucient du monde des méchants.
Protège bien nos anges, étant sur eux ta main
Que toujours pur Amour anime leurs parents,
Sans aucune relâche, toute leur vie durant
Que jamais ils ne tremblent devant les lendemains.
Au calme des ténèbres qui apaise les âmes
Succèderont les jours, répliques de la nuit
Leur vie doit être exempte des innombrables bruits
Que la modernité amènerait au drame.
Tu as connu la gloire avant le désespoir
A voir ton fils cloué tout en haut d'une croix
De l'immonde faucheuse qu'ils ne soient pas la proie,
Assiste tes enfants égarés dans le noir.
Bonne soirée lecteur
Lorsque la nuit descend veille sur nos enfants,
Garde précieusement la clé de leur sommeil
Nos petits chérubins, comme autant de merveilles,
Jamais ne se soucient du monde des méchants.
Que toujours pur Amour anime leurs parents,
Sans aucune relâche, toute leur vie durant
Que jamais ils ne tremblent devant les lendemains.
Succèderont les jours, répliques de la nuit
Leur vie doit être exempte des innombrables bruits
Que la modernité amènerait au drame.
A voir ton fils cloué tout en haut d'une croix
De l'immonde faucheuse qu'ils ne soient pas la proie,
Assiste tes enfants égarés dans le noir.
Publié par
Muse
à
09:30
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Libellés : Marseille que j'aime..., rimaille...
vendredi 9 décembre 2005
commencer
Me voilà devant une page blanche... j'en ai tant remplies ces deux dernières années...
Une idée comme une autre... Je vais remonter le fil du temps.
On voudrait pouvoir arrêter le temps.
Le soleil se couche sur la rade de Marseille.
Les îles du Frioul, le château d'If se découpent au loin.
La nuit va bientôt tomber et Notre Dame de la Garde veillera sur ses enfants.
On voudrait pouvoir écrire à nouveau certaines pages de sa vie.
L'âge se prête à une introspection, à la réflexion.
L'âge mais aussi les douleurs, celles du corps d'abord
mais aussi celles de l'âme.
Se retourner sur sa vie
voir ce que l'on a réussi
mais aussi ce qu'on a lamentablement échoué.
Le soleil se couche sur la rade de Marseille.
Les îles du Frioul, le château d'If se découpent au loin.
La nuit va bientôt tomber et Notre Dame de la Garde veillera sur ses enfants.
On voudrait pouvoir écrire à nouveau certaines pages de sa vie.
L'âge se prête à une introspection, à la réflexion.
L'âge mais aussi les douleurs, celles du corps d'abord
mais aussi celles de l'âme.
Se retourner sur sa vie
voir ce que l'on a réussi
mais aussi ce qu'on a lamentablement échoué.
Publié par
Muse
à
10:03
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