lundi 27 août 2007
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Friche, où ne poussent plus que des herbes folles.Mais qui sait...un jour, de ces graines, naîtra ma vie! Des rimailles qui vous mèneront au plus profond de ce que j'éprouve, des écrits, lambeaux de mes angoisses et de mon imagination; des passions qui font et défont ma vie; l'amour de ma ville. Mais aussi atelier où vous pourrez voir mes essais, mes corrections et mes envies.
et de Salvador de Bahia que j'aurai tant aimé voir. La vie en a voulu autrement. Mais une rencontre internationale de Capoéira au parc Borély m'a permis de vous mettre aujourd'hui, plus pour la musique que pour la danse/combat cet extrait.
Publié par Muse à 13:32
Libellés : au gré de mes balades
9 commentaires:
épatant - ça a du être un joli moment
Je suis toujours émerveillée par ce genre d'habileté des corps
ahhh ! la capoeira que de souvenirs n'est ce pas ma Muse !!!
oui, je revois le Bahia que Tomi a fait connaître à Lola ;)
Tu ne sais pas encore si tu n'iras pas un jour prochain..
Leur agilité m'impressionne toujours.
Pour le décodeur 75, il s'agissait des gens qui tapent des expressions via google et qui se retrouvent sur mon blog.
Belle soirée étoilée à toi. Bises.
Des danseurs d'une grande souplesse et un rythme bien soutenu. Un bien beau spectacle dont tu nous offre un extrait agréable.
j'en mettrai une demain où le chanteur de celle ci se retrouve même sur la tête!
merci LFD... me voilà plus instruite ce soir ;o)
HB, mon rêve serait de voir les Bouches de l'Amazone...mais j'y crois encore.
Bonne idée, et si l'on dansait ? Bon, ils ont la souplesse mais hein, on peut suivre le rythme ?
Bonne semaine ensoleillée dehors et en toi.
Superbe la vidéo ! merci ;-)
Douce nuit museke
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