la phalène
Les secondes s’égrènent,
Une page se tourne,
Cette nuit la phalène
A la lampe retourne
Et tant pis si ses ailes
A la chaleur se brûlent ;
Dans son vol elle excelle
Et jamais capitule
Elle aime sa chaleur,
Sa lumière brillante
Qui la mettent en valeur
Qui la rendent vaillante.
Nulle nuit se s’achève
Sans que la mort ne frappe
Si ce n’est dans les rêves
Où l’insecte s’échappe.
Une page se tourne,
Cette nuit la phalène
A la lampe retourne
Et tant pis si ses ailes
A la chaleur se brûlent ;
Dans son vol elle excelle
Et jamais capitule
Elle aime sa chaleur,
Sa lumière brillante
Qui la mettent en valeur
Qui la rendent vaillante.
Nulle nuit se s’achève
Sans que la mort ne frappe
Si ce n’est dans les rêves
Où l’insecte s’échappe.
Encore en cours d'examens, je viens te souhaiter une douce soirée mecteur.
20 commentaires:
Je suis à l'heure pour venir lire ton poème du papillon de nuit.
beau, très
Bonjour, Muse...
Le temps d'une phalène, c'est déjà beaucoup, surtout lu ainsi...
Bon courage pour toi.
Merci.
Je t'embrasse.
C'est la vie des papillons de nuit ou la mort serait plus juste... Bonne journée Muse !
Elles si belle et tes mots lui vont si bien ! Bon courage à toi et bonne soirée.
Elle est si belle et elle ne sait pas qu'elle est éphémère...
alors c'est décidé, je reste dans les rêves...
Quel beau poème ma Muse, tu sais, nous sommes tous/toutes papillons de nuit, nos rêves tout comme les papillons meurent au matin, mais il fait bon les revivre au réveil.
Bon jeudi et bisous de ta p'tite cousine du Québec.
Mecteur si tu veux… ;-)
Un coucou et une inspiration poétique chez toi avant d'aller chercher le soleil
Une écriture ciselée et stylée comme toujours ! la phalène est mise en exergue et se trouve associé à de jolis mots ! bravo Muse !! que ta soirée soit belle !
ma chère Muse ...
Les papillons sont fous ... ils vont là où ça brule ..
ne sommes nous pas tous un peu comme ça .. le goût du danger ..... du risque ....
Soigne toi bien .
je t'embrasse fort
Dire qu'il y en a moins depuis quelques années... Vont-ils disparaître, c'est si beau un papillon. Bon week-end de repos Muse et à la semaine prochaine !
J'ai une aversion pour les papillons de nuit mais sous votre plume, le sort de la phalène (devrais-je dire LE phalène car seuls les mâles volent !) qui en voletant vers la lumière, d'Icare connaîtra la mort !
Absente des blogs en ce moment car je devais me consacrer à l'autre souffrant j'ai eu un vrai ravissement devant ton papillon et les mots qui l'accompagnent. Bises.
Il existe de très beaux papillons de nuit.
Bonne soirée et bon dimanche à toi, Muse.
Un bonjour, en passant, Muse.
Bon courage pour toi.
A bientôt.
Je t'embrasse.
Ton regard et mes mots, tes mots et mon regard, sont souvent proches...
Toujours de nouveaux sujets d'inspiration!Et toujours de beaux poèmes! Bonne soirée malgré tes ennuis! Arlette.
coucou muse!!!
comment vas tu à présent?
bien j'espère
gros bisous
J'ai trouvé ce texte magnifique, très bien écrit! Bravo!
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