Je voudrais te donner
un petit retour timide, tant de choses ont changé depuis que je n'ai pas écrit, depuis que je ne suis pas revenue vous voir...cela se fera tout doucement... ;)
Je voudrais te donner
Je voudrais te donner la jeunesse du vent
Ses rafales joyeuses porteuses de l’espoir
Quand ton âme s’attriste, mise sous l’étouffoir,
Afin que tu t’envoles vers des cieux plus cléments.
Je voudrais te donner la fougue du volcan,
Sa lave incandescente pour en couvrir ton corps,
Que ses flammes qui brûlent ton destin ardemment
Consument cet amour qui vient juste d’éclore
Je voudrais te donner la fraîcheur du ruisseau,
Dévalant au printemps le flanc de la montagne,
Encaissé dans la roche comme dans un berceau
Le conduisant heureux au pays de Cocagne.
Je voudrais te donner les ocres et puis l’argile,
A la matière chaude, aux pigments sensuels,
De celle qui modèle l’Humanité fertile
Qui tournera sans fin comme en un carrousel.
Je voudrais te donner la jeunesse du vent
Ses rafales joyeuses porteuses de l’espoir
Quand ton âme s’attriste, mise sous l’étouffoir,
Afin que tu t’envoles vers des cieux plus cléments.
Je voudrais te donner la fougue du volcan,
Sa lave incandescente pour en couvrir ton corps,
Que ses flammes qui brûlent ton destin ardemment
Consument cet amour qui vient juste d’éclore
Je voudrais te donner la fraîcheur du ruisseau,
Dévalant au printemps le flanc de la montagne,
Encaissé dans la roche comme dans un berceau
Le conduisant heureux au pays de Cocagne.
Je voudrais te donner les ocres et puis l’argile,
A la matière chaude, aux pigments sensuels,
De celle qui modèle l’Humanité fertile
Qui tournera sans fin comme en un carrousel.
http://picasaweb.google.com/lh/photo/oyCMjkSGNq4f6DK5-JgJqA
8 commentaires:
Tu devrais nous donner des nouvelles plus souvent, je sens que tu n'es pas très en forme...
Tu n'as rien perdu de la précision de tes mots de poète, j'espère que tu vas bien malgré ce long silence.
...> H.B ma forme n'est pas si mauvaise que ça, seule l'inquiétude pour ma maman me mine...
...> Gérard merci de tes mots; je dois dire que les mots coulent moins vite lorsque l'on s'interrompt d'écrire. Rassure toi je vais bien; les blessures de l'âme sont toujours là et les soucis aussi mais dis moi qui n'en a pas.
celles de l'âme sont souvent plus profondes
le manège de la vie nous ramène toujours à nos vieux amis, et à leurs souvenirs...
Bonjour, Muse.
Je retrouve l'élégance de ton style et la chaleur de tes motts.
J'en suis heureux.
J'ai pensé à ta maman, pendant toute cette période de silence.
Mais tu reviens doucement.
J'en suis heureux aussi.
Je t'embrasse.
coucou Muse!!!
ca fait un temps que je suis venu te lire. ou poster un commentaire.
Que deviens tu?
Pardonne moi ces silences ces derniers temps.
Mais dis moi!! ce manège n'est-t-il pas celui de la vogue de la croix rousse? En tous cas il lui ressemble.
embrasse ta maman de ma part.
gros bisous pour toi et à très bientôt j'espère.
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