haïku: 11 mars 2011
Fleurs de cerisiers
Emportées par la vague
Fleuriront demain.
Emportées par la vague
Fleuriront demain.
mardi 15 mars 2011
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Friche, où ne poussent plus que des herbes folles.Mais qui sait...un jour, de ces graines, naîtra ma vie! Des rimailles qui vous mèneront au plus profond de ce que j'éprouve, des écrits, lambeaux de mes angoisses et de mon imagination; des passions qui font et défont ma vie; l'amour de ma ville. Mais aussi atelier où vous pourrez voir mes essais, mes corrections et mes envies.
![[]](https://lh3.googleusercontent.com/blogger_img_proxy/AEn0k_uwQJPyWQqbiLbt3wM4ODDGpqK03d91andXpi_3xdCdrHTswcxdTTODc_X9WLMb3yQ-00qUQpP6e6jkhT4C9ep4UTOUAj8TYOEGQvNk6tFuCUQXZmE_zda6HkewtsMX0H89-hrSUyoIUoDJLcSMhcPKG_IG=s0-d)
5 commentaires:
J'ai toujours eu du mal à apprécier à leur juste valeur ce type de poème mais je profite de celui-ci pour marquer le plaisir que j'ai de vous voir sortir de votre hibernation :-)
Bonjour Gicérilla. Il ne s'agit pas d'hibernation dans le cas présent mais davantage d'amour filial pour une maman qui se voit infliger 3 dialyses par semaine à l'aube de ses 90 ans, ses reins ne fonctionnant plus. En ce moment c'est pour moi boulot, auto; dodo... ;)
nourries de douleur,
dans la lumière, les fleurs,
jeunesse du temps
joie fugitive : Muse est revenue
honte : ne l'avais pas vu
retour timide vu mes voyages hebdomadaires sur Marvejols...
Bonjour, Muse.
Espérance peut-être sur la brise du printemps.
Merci beaucoup.
Je t'embrasse.
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