mercredi 23 janvier 2008

merci de ta présence lecteur

Mon Dieu ! qu’ai-je fait ? Je vous ai sans doute affolés avec mes mots de l’instant, ces mots qui coulent du cœur. Vous me connaissez pourtant…sensible et passionnée. Que je vous explique quand même…

Mais avant de le faire permettez moi de vous remercier pour toutes vos marques de sympathie, mais rappelez vous mon titre : y’ a pas de quoi fouetter un chat ! Vos mots et vos réactions qui arrivaient dans ma boîte mail également m’étaient donc connus. Je suis très sensible à toutes ces gentillesses ainsi qu’à celles qui m’ont appelée, à la douce voix de mon PC tout alarmé…

Suite à un article de Double Jeu sur les souvenirs, dans lequel elle semblait faire face , je lui laissé une trace , donnant déjà le sens de mon billet.

Pour moi, je n’arrive pas à faire émerger de bons souvenirs ou si rarement que lorsqu’ils arrivent j’aime à les faire durer. Par contre, ce sont très souvent des mauvais souvenirs qui viennent ; Ce sont eux qui me submergent et qui me font mal ;ce sont eux que je n’arrive pas à poser. Et dans ce cas là comment arriverai-je à un « Carpe Diem » si je ne peux pas poser mon passé ou si je redoute toujours mon futur ? J’assume bien, pour ceux qui me connaissent mon présent. Mais mon passé, si lourd me fait énormément de mal. Mon billet allait dans ce sens. Et lorsque je l’écrivais, il est vrai que j’étais mal et je savais que ma nuit serait horrible. Le choix des mots allait dans ce sens. Comprenez vous maintenant pourquoi je vous parlait d’échec assuré. Je n’ai pas résolu mon problème et le garderai encore longtemps. Problème lourd et pesant. Poser son paquet et n’y plus penser. Continuer à lire encore et encore pour arriver à progresser, à trouver des parades. Une tendre passion me permet de ne pas dériver.

Elle a été peuplée de cauchemars . Et aucun souvenir le matin, sauf un mal être que je me suis empressée de faire passer en me consacrant à un programme que j’ai volontairement chargé. C’est ainsi que j’arrive à oublier…juste en bossant plus.
Vous avez pu approcher la Muse Noire avec ses mots choisis mais tellement sombre, car vivant ou revivant certains souvenirs au moment où elle écrivait.

Merci à toi lecteur de ta sollicitude, de ton inquiétude et du soutien que tu m’as apporté. La blogosphère montre une nouvelle fois sa présence et les liens que nous pouvons tisser.




Bonne et douce journée

8 commentaires:

Brigetoun a dit…

les sous sols noirs.
les écrire pour en faire une fiction ?
avec le risque de heurter les proches

marie.l a dit…

oui le risque est grand ! mais l'essentiel est de revenir vite et c'est fait ! OUF !!! BBBB

Anonyme a dit…

Disons que ce fut un orage, maitrisé, content que le vent se soit calmé, et voilà juste une bise, un souffle, une risée. bonne et meilleur nuit !

Rosie a dit…

J'ai été lire le texte de Double Jeu, quel texte puissant, je comprends ce que tu as ressenti en te remémorant tes souvenirs.

Tu sais Muse:

"Le pain d'hier est rassis, le pain de demain n'est pas encore cuit, alors mangeons celui d'aujourd'hui."

Moi aussi, j'ai un passé très très douleureux et cette petite phrase m'a bien aidée.

Répète la sans cesse et tu verras cela aide beaucoup.

Si contente de te relire ici et chez-moi.

Bon jeudi et bisous, douce Muse, de ta p'tite cousine du Québec.

. a dit…

Muse noire?

Muse humaine, sensible qui, regarde la vie en face tout simplement

bulles acides et bulles pétillantes

bonheurs et peines ainsi vont les jours et tout ce que tu as écrit avant hier c'est aussi la vie

A nouveau t'as fait entré le soleil chez toi je suis rassurée ma petite Muse

il faut pas refouler ses larmes, c'est sain , elles nettoient.
Après on s'ébroue(comme disait brigtoun) et on repart !

Bisous bonne journée

Anonyme a dit…

Je comprends que c'est difficile pour toi, cette difficulte a redemarrer quand les souvenirs t'envahissent.

vincent a dit…

Bonsoir Muse
j'ai ratté plusieurs episodes il me semble
je vais alrleslire
mais je t'asue de toute monaffection de blogueur et te fais de grosses bises

Anonyme a dit…

J'aimerais te rencontrer ensemble nous pourrions affronter le passé...